Bon... funeste soirée... la boucle du Don n'a pas été juste nettoyée, je m'y suis fait vitrifier
à l'aller et au retour...
Et pourtant, ce n'est pas faute d'avoir essayé!
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Hilarion (Alliés)/ Verny (Axe)-2/6-11/18
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Hilarion (Axe)/ Verny (Alliés)-5/6-16/19
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Après un début décevant de mes commandos infiltrés, j'arrive bien à mobiliser et à regrouper mes forces pour attaquer. Je m'attends à pouvoir utiliser mes blindés bien abrités, à bonne distance de frappe.
Mais les tirs ne sont pas bien efficaces, et j'échoue à finir les unités (d'autant plus qu'une intervention des mécanos germaniques remet en état une unité de panzers).
De leur côté, déchaînés au schnaps, les allemands enchaînent héroïsme et assaut de blindés... et avec une précision meurtrière redoutable (41% au global)...
Je pense avoir bu le calice avec l'aller... erreur!
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Une bonne main me permet de porter rapidement les panzers vers l'avant, alors que les blindés russes sont encore presque tous au bord de la carte, et je mène 4 à 1 au tour 7, avec une situation prometteuse: toutes les cartes en main pour utiliser mes blindés, et en dépit d'un assaut de blindés qui ramène Verny à 4 - 2 au tour 9, j'ai la victoire à portée de la main avec 4 unités de blindés intactes contre 2 unités totalisant 5 figurines, acculées... et là, mon attaque échoue misérablement au tour 9: 9 dés lancés dont 6 sur une unité sans recul, et 1 seule figurine détruite...
Et là Verny me ressort sa fameuse action héroïque et sort ses russes hurlants, et revient à 4 - 4 en m'explosant 2 unités complètes... je tente un dernier effort au tour 11, encore plus misérable... aucune perte infligée, et en réponse, une infiltration m'anéantit encore une unité de blindés... 5 - 4... et alors que je m'épuise à finir une unité sans recul, Verny peut se payer le luxe de sortir du village pour venir finir une unité retranchée dans un village, qui a la brillante idée de retraiter pour s'offrir au tir des blindés...
Au final, Ivan a un score de 45% (dont 43% sur mes malheureux blindés)...
Et la morale de cette histoire: tant que ce n'est pas fini, rien n'est joué